
Commentaire photo : A chaque fin de chapitre, un boss zarbi. Les mecs avec un légo sur la tête sont particulièrement difficiles à vaincre.
Test
Jeu multi-plateformes, édité par Bethesda et développé par Tango Gameworks, le studio japonais de Shinji Mikami (créateur des premiers Resident Evil), The Evil Within est sorti au Japon le 23 octobre 2014 avec une semaine de retard sur l’occident (ne me demandez pas pourquoi) sous le titre original de « Psycho Break ».
Alors déjà, première surprise, lorsque j’ai lancé le jeu, je me suis aperçu que le mode gore n’existait pas contrairement à la version européenne et qu’il me fallait télécharger le mode en DLC. Que de temps perdu ! Heureusement, comme j’avais précommandé le jeu, le code DLC était offert. Mais, quand même, pourquoi ne pas mettre ce satané mode directement dès le départ comme c’est le cas pour l’Europe et les USA ?
Parfois, il ne faut pas chercher la logique…
Enfin bon, ce problème résolu, nous sommes déjà tard le soir, je suis seul chez moi et je démarre enfin une partie. Passé les premiers sursauts de ce Survival-Horror, je découvre une aventure qui aurait pu avoir pour nom « Resident Evil » tant les similarités du système de jeu et du scénario sont nombreuses. Des meurtres étranges ont été commis et une équipe policière arrive sur les lieux. Ça ne rappelle pas quelque chose par «bio hasard » ? Sauf que là, évidemment, on a le droit à un hôpital et non pas à un manoir. Ce qui change tout. Mais ne vous inquiétez pas car le manoir arrivera lui aussi plus tard dans l'aventure ainsi qu'un village et une église quasi identiques à ceux de Resident Evil 4. Le tout enrobé d'une bien jolie bande son.
Pour faire plaisir à ses fans, Mikami a donc fait dans le recyclage, à un détail près, qui n’en est finalement pas un DU TOUT !!! : la difficulté exacerbée du machin.
Sans spoiler l’histoire, retenez juste
1. Attachez-vous à la manette avec de la super glue parce que sinon…elle va valser ! Le jeu sera extrêmement cruel avec vous (beaucoup de Die and Retry énervant).
2. Comme disait mon professeur de Judo : la douleur, c’est dans la tête !