Nous connaissions Sidney de Vries pour son jeu Moomoo.io dans lequel vous deviez construire un village en utilisant du bois. C'est en compagnie de Vincent de Vries qu'il nous revient aujourd'hui avec un jeu beaucoup plus destructeur : Foes.io est un jeu multijoueur (toujours en version bêta) dans lequel vous devez combattre pour rester en vie, et devenir le dernier survivant.
Ceux qui pourront jouer à Foes.io sur JeuxJeuxJeux s'en rendront très vite compte, les bois ne sont plus ici un lieu de prospection et de douce promenade. Non, les forêts servent ici d'arêne où les joueurs s'affronterontt pour qu'il n'en reste qu'un seul. Et quand on voit le nombre de joueurs connectés, attendez-vous à des parties très courtes. A moins que vous ne choisissiez de rester caché là, paralysé par la peur de vous faire descendre.
Je te survivrai
Ici, point de règle alambiquée. Le déroulement du jeu est au contraire simple au possible : pour avoir la moindre chance, il vous faut dénicher une arme, attaquer votre prochain, et tenter de survivre à ceux qui vous auront repéré. Il sera dès lors difficile d'élaborer le moindre plan tant vos adversaires ne vous donneront pas de répit.
Heureusement, de nombreux bonus vous aideront en upgradant vos points de vie, de vitesse ou de défense tandis que des trousses de secours vous soigneront. L'arsenal qui vous est proposé aléatoirement offre les incontournables pistolets, fusils et mitraillettes (aux munitions limitées bien sûr !). Mais les plus écolos d'entre vous seront sans doute sensible au charme d'un arc et de ses flèches. Beaucoup plus original et destiné aux médiévistes et bricolos, une épée et un marteau se montreront contre toute attente beaucoup plus efficaces, à condition de ne pas avoir peur de se rapprocher de son ennemi pour se livrer à un sauvage corps à corps.
Ce fait l'originalité de Foes.io vient du fait qu'à mesure que le jeu avance, l'arêne se réduit, forçant ainsi en fin de partie les joueurs à se rapprocher comme dans un grand thé dansant sanguinolante, et où vous êtes condamné à conclure !