
L'exemple récent de Konami (entre autre) tend donc malheureusement à enfanter ses infâmes rejetons : pour les dirigeants de SEGA, l'avenir du jeu vidéo passe aussi par les NFT. On a pu le découvrir dans une interview publiée le mois dernier sur le site Web de recrutement de Sega (et récemment traduite par VGC).
Lorsque l'on évoque l'"avenir du jeu vidéo" et que l'on sort la carte des NFT, entendez par là qu'il s'agit plutôt de profiter d'une bulle spéculative (= arnaque) avant qu'elle n'éclate.
Mais que ce soit Ubisoft avec Ghost Recon ou Konami avec Castlevania, les expériences en la matière ont été diversement appréciées des joueurs. Malheureusement, cette tendance semble sur le point de tout envahir, on se souvient qu'une représentation 3D de la cartouche du jeu Centipede s'était vendue contre 18 000 dollars en Ether (ETH), la seconde plus grande cryptomonnaie actuelle, au profit d'Atari...